Encore une jolie  découverte au fil des commentaires des fans de polars sur Babelio : un roman historique comme je les aime, qui nous replace dans l’ambiance d’une époque – 1922 – et surtout d’une belle ville : Nice. Une affaire sordide de tueur en série de prostituées puis d’enfants défraie la chronique. Le processus criminel est étrange, à première vue dénué de caractère sexuel, recelant cependant une énigme narguant les policiers, qui fait appel à une culture antique poussée. C’est l’œuvre d’un déséquilibré... [Lire la suite]

La critique de Claude :   « En une personne » peuvent se conjuguer plusieurs êtres, comme chez Bill, ce jeune homme issu d’une famille de First Sister, tranquille cité rurale du Vermont, vouée à la forêt, aux scieries et à un Collège universitaire renommé. Dans cette famille un peu bizarre, on se passionne pour le théâtre amateur, surtout quand il permet de s’habiller comme le sexe opposé, et pour la lutte, sport universitaire cher à l’auteur. Mais rassurez-vous, les dames de la famille sont très « comme il faut » Bill... [Lire la suite]

Eh oui, je me languis de mes singapouriens, mine de rien ... Cependant, leur papa Nicolas a eu une très heureuse initiative : à l'attention des grands-parents parisiens et niçois, il nous envoie régulièrement des portraits de ces petits anges, ce qui me permet de les savoir proches, bien qu'à des milliers de kilomètres. C'est déjà loin, Nöel ! Je ne sais même pas quand nous pourrons aller à Singapour : Claude a un agenda de mission tellement chargé jusqu'au 15 décembre que c'est tout juste si nous prendrons quelques... [Lire la suite]

D'habitude, le mascarpone est utilisé pour confectionner le tiramisu .... Ici, il joue tout simplement le rôle de la crême triple anglaise ! Pour calibrer le nombre de pommes de terre à utiliser, commencer à les ranger côte à côte à cru dans le plat à gratin, un bon moyen de ne pas en peler trop ... ou trop peu. Faire préchauffer le four à 180° (Th : 6). Choisir les filaments de safran (environ 10 par portion) et les écraser au fond d'une tasse, puis verser 5 cl de crème fraîche liquide. Laisser infuser au moins une demi-heure. ... [Lire la suite]

Au hasard de ma bibliothèque qui déborde ... je retrouve cet ouvrage préfacé Par Bruno Racine, Président du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou. Ce catalogue édité en 2006 par les Editions Moulinsart, illustrait l'exposition Hergé au Centre Pompidou. Un format inhabituel, un pavé qui ne demande qu'à s'ouvrir, des estraits en pleine page de croquis de jeunesse, ceux d'avant Tintin, comme ce portrait peu conventionnel d'un éminence catholique avec un cigare en main, cet autoportrait de Georges Rémy en dandy, ces... [Lire la suite]

Il faisait encore bien froid hier ... Pourtant, nous avons profité de nos petits : Apolline et Hugo. Avec un plat de grosses fraises et du fromage blanc. Les fraises n'avaient pas beaucoup de goût, mais qu'importe ....    

Un beau film, un peu lent, en noir et blanc, qui nous fait partager une petite part de la genèse d’une sculpture : du croquis à la figurine en terre glaise de petit format, puis à la terre au format définitif, puis au plâtre et enfin le marbre. Nous sommes à l’été 1943, à la frontière franco-espagnole. Marc Cros est un sculpteur reconnu, à la fin de sa vie. Il vit avec son épouse Léa, son ancien modèle. Il ne travaille plus depuis le début de la guerre jusqu’à ce que Léa repère la jeune Mercé, une belle réfugiée espagnole au... [Lire la suite]

Lyon, septembre 1920. Dans la ville où fut créé en 1910 (par Edmond Locard) le premier laboratoire de police scientifique de France, le commissaire Victor Kolvair et le professeur Hugo Salacan travaillent en étroite collaboration. Les techniques que nous connaissons aujourd’hui n'en sont pourtant qu’à l’état embryonnaire : les fichiers anthropométriques inventés par Alphonse Bertillon sont largement utilisés, mais on commence à peine à travailler sur le génome. En fait, toute la ville est en attente d’un spectacle... [Lire la suite]

Oubliée ma déception à la lecture du dernier livre de Donna Leon ! On dira encore qu’elle écrit toujours la même chose, mais moi, j’ai toujours le même plaisir à retrouver  le Commissaire Brunetti et sa famille, son amour des lettres latines et son naturel profondément généreux. L’atmosphère de Venise est poisseuse en cet été implacable. La chemise colle aux omoplates, on fuit le soleil de plomb, on recherche le moindre souffle d’air qui se fait rare, même à bord de la vedette de la police, toujours barrée de main de... [Lire la suite]

C’est un privilège de rencontrer un auteur dont on vient d’apprécier le livre. En l’occurrence, Michel Bussi (né en 1965), l’auteur de « Nymphéas noirs », un polar qui m’a captivée. Cette rencontre était organisée par Babelio, au siège de son éditeur, les Presses de la Cité. Une très intéressante expérience avec un homme au regard crépitant d’intelligence, qui s’est livré sans contrainte aux questions de quelques lecteurs. Nous n’étions pas nombreux, nous avons donc pu l’interroger de façon très libre. L’homme... [Lire la suite]