
Je trouve
bien sévères les critiques qui jugèrent, lors de sa parution, le second tome
des « Trois formules du professeur Sato », en dessous du niveau habituel de l'oeuvre, argant du fait que ce
dernier ouvrage, paru 13 ans après le tome I, avait été terminé grâce à la
collaboration de Bob de Moor. En fait, c’est le décalage de lecture qui fausse
la vision d’une histoire qui se vit dans un souffle, totalement démodée et loufoque. Edgar P. Jacobs créait
dans la douleur, il avait de plus en plus de mal a achever ses...
[Lire la suite]