Ouf, un peu de silence dans cette maison qui vit aujourd'hui, à une unité près, très attendue, sa densité maximum. Très émue et excitée de la venue de son papa, Romane s'est endormie comme une masse hier soir vers 20 h 30, sans faire de chichis. Son père, avec sept heures de jet lag, n'a pas tenu très longtemps non plus. Avec le changement d'heure en plus cette nuit, tout le monde était sur le pont aux environs de 7 heures....et Claude et moi avons eu droit au petit déjeuner au lit avec pain et croissants frais ! A présent, la petite famille est allée "user" un peu Romane au jardin, et ensuite, Florence et son mari iront bruncher au Champs-Elysées avec des amis, puis cinéma. Florence a déjà repéré les bus qui la conduiraient, si besoin, directement vers Levallois.

Pour moi, un gentil déjeuner avec Claude et Romane m'attend. Il ne me reste que des haricots verts à écosser ! Mais, pour vous, je continue dans la veine "plats d'hiver" et "pommes de terre de luxe" avec le billet de ce matin. Ma recette est un peu particulière, mais je la tiens d'une bonne source. Personne ne recommande de laisser macérer les légumes avant de les cuire : c'est pourtant le secret de ce plat !

Post Scriptum : en tous cas, cela ne coupe pas l'appétit à Romane, le changement d'heure : elle a dévoré le morceau de poulet que je lui ai servi, puis, après son dessert, a remis ça avec l'os du pilon !