Nous étions en manque !
Oui, car voir nos petits-enfants est une drogue dure !
Et là, nous étions en manque d’Apolline et Hugo, sans compter de leurs parents. Les voici donc tout emmitouflés et comme toujours, dès qu’Apolline arrive à la maison, elle se met à pleurer car elle entend bien signifier qu’elle ne souhaite pas qu’on l’abandonne, là, et qu’elle veut l’assurance de repartir après le déjeuner dominical.
A nous de la rassurer. Déconcertant, mais lorsqu’elle doit rester, je dois témoigner qu’elle ne fait pas de drame et attend patiemment que ses parents viennent la rechercher.
Elle arborait hier une très jolie coupe de cheveux, nettement plus pratique à coiffer. Et c’est bien une petite fille : elle a essayé immédiatement la petite robe à bretelles que je lui ai cousue, et le gilet de coton qui va avec.
En un instant, elle avait quitté le pantalon et le pull et s’est prêtée volontiers à la séance de pose. J’avais bien calibré la taille, je suis contente.
Hugo, lui, s’est emparé de l’IPad et nous a étonnés avec ses aptitudes … à jouer aux jeux vidéo. Hier, il s’agissait de tirer des oiseaux avec une fronde. Les « sachants » comprendront.
Donc, vous l’avez compris, une délicieuse journée d’hiver, autour d’un pot-au-feu qui va continuer à nous régaler aujourd’hui. C’est de saison !