La critique de Jean-Baptiste :

Los Angeles noire, jeu produit et développé  par Rockstar  Games -  qui a aussi produit la série desfameux et trèsviolents Grand Theft Auto  et, par la suite, Red Dead  Rédemption -  nous offre un jeu sombre, bien réalisé,  intelligemment scénarisé , dans de très beaux décors .

L’histoire nous met dans la peau de l’agent de police COLE PHELPS  de la police de Los Angeles dans les années 40. Le personnage principala beaucoup de mal choisir entre la légalité et les pots de vins délivrés par la mafia et autres truands en tous genres.

Du point de vue de la réalisation, ce jeu est très complet, les décors de l’époque,  les émotions des personnages très biens retranscrits.  On déplore cependant la disparition des impacts de balles sur les murs au bout de 10 secondes et la résistance des ennemis (je n’ai jamais vu quelqu’un se prendre une balle dans la jambe et pouvoir courir une minutes après), mais sinon c’est parfait.

La durée de vie de ce jeu est exemplaire : on compte 15 heures de jeu pour finir la trame principale et il faut estimer 10h de plus pour finir les missions bonus.

Du point de vue expérience de jeu, il y  a quand même quelques lacunes comme les  parties consacrées  à la recherche d’indices souvent trop  linéaires : c’est toujours pareil : même démarche de recherche d’indices, par exemple, ou encore, les armes sont systématiquement cachées sur les toîts.

Mon verdict : jeu bien ficelé en tous points, qui séduira les néophytes comme les joueurs « hardcore ».

Attention : ce jeu est déconseillé aux moins de 18 ans selon l'indice PEGI.